Translationsin context of "Macédoines de légumes" in French-English from Reverso Context: Translation Context Grammar Check Synonyms Conjugation. Conjugation Documents Dictionary Collaborative Dictionary Grammar Expressio Reverso Corporate. Download for Windows. Log in . Register Log in Connect with Facebook Connect with
Si voulez rĂ©aliser rapidement une terrine de lĂ©gumez aidez-vous de boites de macĂ©doines de lĂ©gumes et le tour sera jouĂ©. Vous serez vite sĂ©duite par le gain de temps mais aussi par le rĂ©sultat !Cette recette vous rĂ©conciliera aussi avec la macĂ©doine si enfant vous aviez du mal Ă en avaler une cuillĂšre. PrĂ©parer cette macĂ©doine en terrine et lâassocier avec du surimi en fait une recette qui vous rabibochera Ă coup sĂ»r avec pour une entrĂ©e, servi froid, accompagnĂ© dâune mayonnaise ou dâune salade verte, cette recette de Terrine de macĂ©doine et surimi au Thermomix peut Ă©galement se manger chaud ou tiĂšde en plat principal avec un accompagnement de appĂ©tit !Afficher la recette comme sur mon ThermomixT Fait en entrĂ©e. Je lâai rĂ©alisĂ© la veille et mis au frigo toute la nuit. Plat trĂšs frais accompagnĂ© dâune mayonnaise maison et de quelques crevettes. TrĂšs facile Ă faire. Recette respectĂ©e Ă la lettre. Et voilà ⊠Un rĂ©gal avec une chouette salade croquante⊠MacĂ©doine remplacĂ©e par 300 g de Julienne de chez Picard carottes, courgettes, concombre et cĂ©leri rave cuite encore surgelĂ©e au Varoma 10 mn, 500 g eau, vitesse 1. 5 surimi mixĂ©s avec la pĂąte, curry Ă la place du curcuma Pas de crĂšme fraĂźche mais un bon reste de Mascarpone⊠Faut pas gùùùcher ! đ 12 surimi allongĂ©s tranquillou en deux Ă©tages » de 6 pour faire joli jâespĂšre ! đ€ Ă la dĂ©coupe⊠4 Ćufs seulement mais 30 g de MaĂŻzena. 50 g de rĂąpĂ© vu que câest tout ce que jâavais⊠Je voulais ajouter des graines de fenouil⊠et ben zappĂ©es ! Dommage ! đ€Ł Terrine revisitĂ©e pour des connaisseurs gĂ©nĂ©ration Pizza/MacDo⊠Je croise les doigts⊠đ±đ€đ€đ€ Ouf, ils ont aimĂ© !!! đđđđđC Excellente terrine fraĂźche et savoureuse ! Jâai mis le double de MacĂ©doine et Servie avec le reste de surimi saveur langouste â tomates cerise et mayonnaise Une recette simple qui est trĂšs bonne Bonne recette, facile faire, je nâavais plus de macĂ©doine jâai donc utilisĂ© 2 petites boĂźtes de carrote/petits pois du coup ils sont un peu tombĂ©s au fond du moule, car trop lourds đ€«đ€ . Jâai rajoutĂ© de lâail en poudre et un trait de sauce sriracha Ă la prĂ©paration avant cuisson. Ne pas hĂ©siter Ă mettre plus de bĂątons de surimi pour plus de gourmandise. Avec mayonnaise cookomix et salade de tomates cerise. Se prĂ©pare Ă lâavance , excellente froide, Ă dĂ©cliner dans dâautres versions. AhâŠ.et si vous avez un moule silicone câest impec, moi jâai utilisĂ© un moule traditionnel que jâai oubliĂ© de beurrer parce que câĂ©tait pas prĂ©cisĂ© dĂ©moulage hasardeux et difficileâŠ.. Excellent đ je lâaiprĂ©parĂ©hiersoiraudĂźner!!! Jâai remplacĂ© la macĂ©doine par une jardiniĂšre de lĂ©gumes et câest top đ!! Merci beaucoup pour le partage đ„° !!!EssayĂ© pour le repas de St Valentin un regal Petite entrĂ©e du jour. Tout respectĂ© sauf le surimi oĂč jâai mis plus. Parfait. Repas froid âŠ. hummm un rĂ©gal A refaire trĂšs bon Excellente, jâai rajoutĂ© des olives vertes en rondelles, de la ciboulette ciselĂ© et un plus de surimi mes enfants Ă©tant fans pourquoi les privĂ©s đ Tres bonne recette ! Simple et rapide en ce qui concerne la prĂ©paration. IdĂ©ale pour une entrĂ©e printaniĂšre ! đ Ă amĂ©liorer, pour ma part, du cĂŽtĂ© esthĂ©tique⊠Merci Super đ merci pour cette recette âșïž Ai fait un mix des differents commentaires â dÂŽailleurs tjs tres utiles et tres interessants Dans lÂŽappareil 6 surimi 150g emmenthal 300gr pt pois carotte en conserve on ne retrouve que qq petits pois a la sortie du Momo maisâŠ. comment faire manger des legumes aux enfants !?!!⊠Farci avec 280 g de saumon frais AccompagnĂ© dâune mayo adoucie par les blancs montes en neige⊠aĂŻe aĂŻe aĂŻe TRĂ BON đđ Bon et frais et on ne peut plus simple Ă faire! PreparĂ© la veille pour que ce soit bien frais ! Bon mais Ă manger en petite quantitĂ© et avec des cruditĂ©s sinon ça devient vite Ă©cĆurant⊠Je ne lâai pas goĂ»tĂ© car je nâaime pas le surimi, apparament elle est bonne et accompagnĂ© de mayo au citron du siteđ. Je referai avec du saumon pour pouvoir en Merci Ă MelanieTouze pour cette entrĂ©e qui fait toujours son effet. Les commentaires sont supers et jâai testĂ© avec du curry Ă la place du curcuma. Jâai essayĂ© les deux et avec le curry, câest pas mal du tout! đ Recette rapide servi avec une mayonnaise maison bien-sĂ»r !!
Pourfaire une macĂ©doine de lĂ©gumes, il faut une mayonnaise maison, et pour se faire on sĂ©pare le blanc du jaune dâĆuf. Dans une calotte en inox, on rĂ©unit le sel, le vinaigre, la moutarde et le poivre. On mĂ©lange le tout avec un fouet pour dissoudre le sel. Ensuite, on ajoute le jaune et on commence Ă tourner.
ï»żEn cliquant sur les liens, vous pouvez ĂȘtre redirigĂ© vers dâautres pages de notre site, ou sur simplement vos courses en drive ou en livraison chez vos enseignes favoritesEn cliquant sur les liens, vous pouvez ĂȘtre redirigĂ© vers dâautres pages de notre site, ou sur 1Ăpluchez les carottes, navets, pommes de terre. Ăcossez les haricots verts et les pois mange 2Coupez chaque lĂ©gume en cube et rĂ©servez sĂ©parĂ©ment. Dans lâeau bouillante ajouter le sel ou le cube selon les rĂ©fĂ©rences du paquet. Ătape 3Mettez Ă cuir selon les lĂ©gumes Ătape 4Les pois mange tout et les pommes de terre, pendant 10 5Haricots verts pendant 2 6Carottes et navets pendant 1 7Une fois les lĂ©gumes cuits, Ă©gouttez-les, ajoutez une pointe de beurre, un peu de poivre. Ătape 8Servez 9Si vous prĂ©fĂ©rez la version froide, rafraĂźchissez les lĂ©gumes. Ăgouttez-les en les versants dans un saladier dâeau froide. Passez-les de nouveau et assaisonnez Ă votre convenance mayonnaise, vinaigrette, natureâŠĂtape 10Bon appĂ©tit !MacĂ©doine façon Alex plat chaud
Re que faire avec une boßte macédoine ? Message 25 avr. 2009 [07:11] Tu peux en faire un potage, tu mixes ta macédoine tu allonges avec un peu d'eau et tu ajoutes un bouillon cube. Annie. "En doutant, nous venons à la recherche, et en cherchant nous percevons la vérité" ABELARD. Annie.
Sommaire Lâappertisation les aliments 1- Historique 2-DĂ©finitions 3- Produits & Process ⊠31- Aliments concernĂ©s 32- Les Ă©tapes du process ⊠4-La destruction thermique 41- paramĂštres influençant ⊠42- Notions de thermobactĂ©riol 43- Notions de Valeur StĂ©rilisa 44- Les contrĂŽles de lâefficaci 5-Les autoclaves Description dâun autoclave Principe de base de ⊠types dâautoclav Principaux types dâautocla Conclusion Lâappertisation les aliments en conserve 1- Historique Lâappertisation est un procĂ©dĂ© qui a Ă©tĂ© dĂ©couvert par Nicolas Appert 1749-1841, un cuisinier français. Lâinvention remonte Ă 1795. Les Anglais Peter Durand, Bryan Donkin et John Hall avaient introduit lâemploi de boĂźtes en fer blanc vers les annĂ©es 1810. Appert adopta ce procĂ©dĂ© et le perfectionna par la suite. Selon la dĂ©finition de Appert, lâappertisation est la stĂ©rilisation Ă lâabri de lâair dans un contenant Ă©tanche ». Au 19e siĂšcle, le peuple français Ă©tait bien conscient du manque dâaliments. La population Ă©tait ainsi divisĂ©e certains prĂŽnaient lâindustrie de la boĂźte de conserve, tandis que les gens des classes populaires rejetaient lâidĂ©e. Ceux qui Ă©taient pour lâappertisation Ă©taient les gens des classes aisĂ©es qui aimaient lâidĂ©e de pouvoir sâoffrir des fruits et des lĂ©gumes en toute saison. Cependant, le prix de ces boĂźtes de conserve Ă©tait plus Ă©levĂ© que le prix de lâaliment de base traditionnel. Câest ce que reprochaient les gens des classes populaires. Vers les annĂ©es 1870, lâĂ©cole devint un des principaux acteurs dans le processus dâacceptation de produits en conserve. LâĂ©ducation mĂ©nagĂšre des jeunes filles voulait quâelles effectuent des provisions pour lâhiver, quâelles Ă©vitent le gaspillage, etc. LâidĂ©e fit son chemin et lors de la PremiĂšre Guerre mondiale, lâarmĂ©e accĂ©lĂ©ra le processus dâacceptation. Leur publicitĂ© incitait les gens Ă envoyer des boĂźtes de conserve aux soldats. MĂȘme si, au dĂ©but, lâindustrie de la boĂźte de conserve a eu quelques ratĂ©s du cĂŽtĂ© sanitaire, elle a graduellement pris de lâampleur. Il y a eu de grandes amĂ©liorations dans la qualitĂ© de la fabrication. Aujourdâhui, les conserves font partie de la vie de tous les jours. 2-DĂ©finitions Produits appertisĂ©s ou conserves dĂ©finis Ă lâarticle 2 du dĂ©cret n°55-241 du 10 fĂ©vrier 1955 Sont considĂ©rĂ©es comme conserves », au sens du prĂ©sent dĂ©cret, les denrĂ©es alimentaires dâorigine vĂ©gĂ©tale ou animale, pĂ©rissables, dont la conservation est assurĂ©e par lâemploi combinĂ© des deux techniques suivantes 1° Conditionnement dans un rĂ©cipient Ă©tanche aux liquides, aux gaz et aux micro-organismes, Ă toute tempĂ©rature infĂ©rieure Ă 55 °C ; Remarque considĂ©rant la date de signature du dĂ©cret et les Ă©volutions technologiques intervenues depuis 1955, les conditionnements hermĂ©tiquement scelles, Ă©tanches aux liquides et aux micro-organismes, mais ne prĂ©sentant quâune Ă©tanchĂ©itĂ© partielle aux gaz, sont Ă©galement employĂ©s, tels les rĂ©cipients semi-rigides ou souples câest le cas des emballages en plastiques souples ou rigides. 2° Traitement par la chaleur, ou par tout autre mode autorisĂ© par arrĂȘtĂ© pris de concert entre les ministres [ ⊠]. Ce traitement doit avoir pour but de dĂ©truire ou dâinhiber totalement, dâune part, les enzymes, dâautre part, les micro-organismes et leurs toxines dont la prĂ©sence ou la prolifĂ©ration pourrait altĂ©rer la denrĂ©e considĂ©rĂ©e ou la rendre impropre Ă lâalimentation humaine. » Le mode de fabrication des conserves ou produits appertisĂ©s doit permettre dâassurer leur stabilitĂ© biologique dans des conditions normales dâentreposage Ă tempĂ©rature ambiante. StĂ©rilisation traitement thermique a des tempĂ©ratures supĂ©rieures Ă 100°C, visant a dĂ©truire les enzymes, les micro-organismes dans leurs formes vĂ©gĂ©tatives et sporulĂ©es et leurs toxines thermosensibles, assurant la stabilitĂ© a tempĂ©rature ambiante des produits. Ce traitement doit ĂȘtre appliquĂ© aux denrĂ©es dont le pH est supĂ©rieur ou Ă©gal Ă 4,5. Pasteurisation traitement thermique a des tempĂ©ratures inferieures a 100°C, visant Ă dĂ©truire les enzymes et les micro-organismes dans leur forme vĂ©gĂ©tative. Ainsi, les conserves ou produits appertises subissent un traitement de stĂ©rilisation. Pour les produits acides ou acidifies, la stabilitĂ© peut Ă©galement ĂȘtre assurĂ©e par un traitement de pasteurisation, associe Ă un pH infĂ©rieur Ă 4,5. A noter lâapplication dâun traitement thermique de pasteurisation tempĂ©rature inferieure ou Ă©gale Ă 100°C a une denrĂ©e alimentaire dont le pH est supĂ©rieur ou Ă©gal Ă 4,5 doit ĂȘtre associĂ©e a une REFRIGERATION du produit fini et Ă la dĂ©termination dâune date limite de consommation DLC. Il ne sâagit pas dâun produit appertise mais dâune denrĂ©e microbiologiquement trĂšs pĂ©rissable ; on parle dâailleurs pour ces produits de semi conserves ». Exemple le foie gras mi-cuit se stocke au rĂ©frigĂ©rateur et bĂ©nĂ©ficie dâune dlc, Ă ne pas confondre avec le foie gras stĂ©rilisĂ© qui se garde Ă tempĂ©rature ambiante et bĂ©nĂ©ficie dâune ddm ex dluo 3- Produits & Process de fabrication 31- Aliments concernĂ©s Ce procĂ©dĂ© de conservation est surtout utilisĂ© pour les fruits, les lĂ©gumes, les viandes, les poissons et les plats cuisinĂ©s. Pour chaque type de produit, les Ă©tapes de prĂ©paration diffĂšrent. Voici une liste de produits trĂšs couramment disponibles dans les marchĂ©s dâalimentation. âą LĂ©gumes petits pois, haricots verts, maĂŻs, champignons, tomates, brocolis, endives, cĂ©leris. Ces aliments peuvent ĂȘtre cuisinĂ©s seuls, en jardiniĂšres, en macĂ©doines ou encore en salades. âą Fruits framboises, groseilles, mĂ»res, fraises, pommes, poires, oranges, pĂȘches, abricots, poires. Ils sont disponibles en confiture, dans du sirop, en compote, etc. âą Produits de la mer thon, saumon, crabe, crevettes, sardines, maquereaux au naturel, Ă lâhuile ou en sauce, coquilles Saint-Jacques et autres poissons et crustacĂ©s.âą soupes il sâagit de soupe de lĂ©gumes ou de poissons⊠⹠viandes il sâagit de pĂątĂ© de campagne, de mousse de foie, de conserve de jambon, de foie gras stĂ©rilisĂ© ou pasteurisĂ© mi-cuit., mais aussi de confits de volailles.. âą Sauces âą Plats cuisinĂ©s spaghetti, boulettes de viande, chili, ravioli, etc. 32- Les Ă©tapes du process dâappertisation RĂ©colte, abattage, pĂȘche La fraĂźcheur des produits est une nĂ©cessitĂ©, câest pourquoi les denrĂ©es sont appertisĂ©es dans des dĂ©lais trĂšs courts. Par exemple, les petits pois sont appertisĂ©s dans un dĂ©lai de deux Ă trois heures aprĂšs la cueillette. En effet, aprĂšs la rĂ©colte la qualitĂ© des vĂ©gĂ©taux ne fait que diminuer ; il est donc important de rĂ©frigĂ©rer au plus tĂŽt la matiĂšre premiĂšre et de la traiter en appertisation dans ce cas prĂ©cis. Dâautre part, il en va de mĂȘme pour la qualitĂ© sanitaire qui se dĂ©tĂ©riore avec la multiplication des microorganismes prĂ©sents naturellement sur la matiĂšre premiĂšre ; cette multiplication est dâautant plus rapide que les conditions sây prĂȘtent bien TempĂ©rature Ă©levĂ©e, prĂ©sences de nutrimentsâŠ. PrĂ©parations Cette Ă©tape varie selon le produit Ă conserver. Par exemple, pour les fruits et lĂ©gumes, cela consiste Ă nettoyer, parer, Ă©liminer les impuretĂ©s, peler et calibrer. Le lavage se fait de deux façons soit par aspersion, soit par trempage. Le pelage est nĂ©cessaire pour les lĂ©gumes-racine, car la pelure nâest pas vraiment comestible et peut se faire de façon mĂ©canique couteaux tournants qui agissent comme abrasif, Ă la vapeur la peau devient molle et Ă©clate, puis le lĂ©gume est lavĂ© par des jets dâeau ou chimique bain de soude, suivi dâune neutralisation par un acide et rinçage. Le calibrage permet de trier les lĂ©gumes et les fruits selon leur grosseur. On utilise un calibreur Ă bandes de caoutchouc, Ă trous, Ă barreaux amovibles ou Ă rouleaux rotatifs avec pente, pour les pois, par exemple. Pour ce qui est des poissons, ils sont Ă©tĂȘtĂ©s, Ă©viscĂ©rĂ©s et Ă©ventuellement dĂ©coupĂ©s. Les travailleurs doivent exĂ©cuter le travail Ă la chaĂźne avec leurs mains. Quant aux viandes, elles sont parĂ©es, câest-Ă -dire que des morceaux sont enlevĂ©s des grosses piĂšces dâanimaux et quâelles sont dĂ©coupĂ©es, dĂ©graissĂ©es, dĂ©nervĂ©es et Ă©ventuellement hachĂ©es. Blanchiment/prĂ©-cuisson Il sâagit dâun traitement thermique rapide. Il consiste Ă mettre lâaliment de 1 Ă 2 minutes dans lâeau bouillante ou dans de la vapeur dâeau puis Ă le refroidir rapidement. La figure montre le blanchiment Ă la vapeur dâun lĂ©gume. Le blanchiment a comme objectifs de âą dĂ©truire les enzymes responsables du changement de couleur de lâaliment polyphĂ©noloxydases et les enzymes de dĂ©gradation isomĂ©rases, protĂ©ases ; âą assouplir les tissus et rĂ©duire le volume apparent de lâaliment ; âą Ă©liminer lâair emprisonnĂ© dans les tissus pour Ă©viter lâoxydation lors de la cuisson ou de la stĂ©rilisation ; âą rĂ©duire le nombre de bactĂ©ries Ă la surface et les rĂ©sidus de pesticides qui sont utilisĂ©s par les agriculteurs pour favoriser la croissance ; âą corriger la teneur en eau avant lâemboĂźtage. La prĂ©-cuisson ou pochage est gĂ©nĂ©ralement pratiquĂ©e pour les viandes grasses et pour certains poissons. Elle facilite le contrĂŽle des teneurs en eau et en graisse et facilite le hachage et/ou cuttĂ©rage Ă©ventuel pĂątĂ©, mousse de foieâŠ. Cependant, le blanchiment nâa pas que de bons cĂŽtĂ©s. Il entraĂźne une certaine perte dâĂ©lĂ©ments nutritifs par dissolution. Certaines vitamines C, par exemple et minĂ©raux sont aussi perdus. Il peut aussi y avoir un changement de couleur de lâaliment et une perte de texture, aussi dus Ă la dĂ©naturation des protĂ©ines lors du traitement Ă la chaleur. On peut rajouter des additifs alimentaires comme le chlorure de calcium qui va permettre de raffermir la texture des fruits comme la poire poire au naturel ou poire au sirop Pour en savoir plus sur le blanchiment voir lâarticle suivant EmboĂźtage/remplissage Cette Ă©tape doit ĂȘtre prĂ©cise, câest-Ă -dire que le poids net Ă©gouttĂ© Ă lâouverture de la boĂźte doit correspondre Ă ce qui est indiquĂ© sur lâĂ©tiquette. La prĂ©cision dĂ©pend beaucoup de la forme et de la taille de lâaliment Ă emboĂźter. LâemboĂźtage peut se faire manuellement ou automatiquement. Le mode manuel est utilisĂ© pour des aliments comme les asperges et les cĆurs de cĂ©leri. La tempĂ©rature de ces aliments ne doit ĂȘtre ni trop Ă©levĂ©e, ni intermĂ©diaire. Si elle est trop Ă©levĂ©e, les aliments brĂ»lent les mains des gens ; Ă une tempĂ©rature intermĂ©diaire, le dĂ©veloppement des microorganismes se fait trĂšs rapidement. Câest pourquoi cette Ă©tape se fait de prĂ©fĂ©rence Ă froid. Pour lâemboĂźtage automatique, on procĂšde gĂ©nĂ©ralement par dosage volumĂ©trique. Le dosage volumĂ©trique est utilisĂ© lorsque la densitĂ© est homogĂšne. On se fie alors au volume pour mettre la bonne quantitĂ©, donc le bon poids, dans la boĂźte. Lâimage prĂ©cĂ©dente montre une façon de faire le remplissage automatique des lĂ©gumes. Le jutage est lâĂ©tape oĂč lâon ajoute le liquide de couverture dans la boĂźte, câest-Ă -dire du jus ou de la sauce. Ce jus permet de faciliter le transfert de chaleur lors de la stĂ©rilisation, et dâincorporer de façon homogĂšne le sel, le sucre, les Ă©pices et les additifs. Il permet aussi de protĂ©ger le produit contre les chocs. Le jus est ajoutĂ© chaud ce qui prĂ©sente deux avantages dĂ©gazer le produit et raccourcir la durĂ©e de stĂ©rilisation ultĂ©rieure. La juteuse câest le nom de la machine qui insĂšre le jus dans la boĂźte fonctionne parfois sous vide, surtout pour les produits qui flottent lors du remplissage. Pour les plats cuisinĂ©s, câest lâĂ©tape dâassemblage de la viande, des lĂ©gumes et de la sauce. Pour le poisson, le liquide de couverture peut ĂȘtre de lâhuile, une marinade ou une sauce. Quant aux fruits, on ajoute un sirop plus ou moins sucrĂ© afin dâĂ©viter un lessivage fuite trop important de matiĂšre soluble sucre du fruit, vitamines, sels minĂ©raux⊠dans le liquide. Pour les lĂ©gumes on sale lâeau de couverture et on peut y rajouter en mĂȘme temps des arĂŽmes, Ă©pices⊠pour limiter les phĂ©nomĂšnes de lessivage dĂ©jĂ Ă©voquĂ©s pour les fruits. Sertissage/fermeture TrĂšs rapidement aprĂšs le jutage, on doit fermer les boĂźtes en enlevant le maximum dâair câest le sertissage pour les boites mĂ©talliques ou le capsulage pour les bocaux en verre. En enlevant lâair des boĂźtes et en fermant le tout, on doit sâassurer de la rĂ©sistance Ă la surpression ou Ă la dĂ©pression ainsi quâĂ lâĂ©tanchĂ©itĂ© permanente. Les bocaux de verre sont fermĂ©s par des capsules twist-off » en fer-blanc. Pour les bocaux de verre, cette Ă©tape se fait sous vide. Cette Ă©tape est capitale car elle conditionne lâĂ©tanchĂ©itĂ© de la conserve. Câest un point critique CCP au niveau de lâassurance QualitĂ© HACCP »LâopĂ©ration de sertissage permet donc la fermeture hermĂ©tique des boĂźtes mĂ©talliques. On pose sur la boĂźte un couvercle sur lequel se trouve un joint. Les deux bords du couvercle et de la boĂźte sont enroulĂ©s ensemble. Puis, par serrage, le tout est comprimĂ©, ce qui permet de fermer la boĂźte dâune façon parfaitement Ă©tanche. Autoclavage/traitement thermique Câest lâĂ©tape de la stĂ©rilisation ou pasteurisation si le produit est acide ou si le produit est destinĂ© Ă ĂȘtre conservĂ© au frais comme les semi-conserves. Le chauffage sert Ă la fois Ă cuire les aliments appertisĂ©s et Ă dĂ©truire les microorganismes et les spores des bactĂ©ries. Des barĂšmes de stĂ©rilisation prĂ©cis sont Ă©tablis pour chaque type dâaliment, pour chaque modĂšle de boĂźte et valable pour un autoclave donnĂ©. Ces barĂšmes seront expliquĂ©s dans une section figure suivante nous montre un modĂšle industriel dâautoclave horizontal discontinu. On voit lâopĂ©rateur refermer la porte de lâautoclave en contemplant les paniers de soupes quâil va appertiser. Câest grĂące Ă lâautoclave que la stĂ©rilisation est possible, car il supporte les pressions engendrĂ©es dans les rĂ©cipients chauds. Le chauffage du produit dans lâautoclave est permis grĂące Ă de lâeau surchauffĂ©e supĂ©rieure Ă 100°C ou de la vapeur dâeau. La consĂ©quence directe de ces tempĂ©ratures supĂ©rieures Ă 100°C est la montĂ©e en pression de lâautoclave qui le rend dangereux ! Il est obligatoire dâavoir obtenu une habilitation formation technique par un professionnel pour pouvoir piloter un autoclave ! Les Ă©tapes prĂ©cises du traitement thermique dans lâautoclave seront dĂ©crites Ă la section Cycle de stĂ©rilisation. Dans les autoclaves industriels, les boites sont entassĂ©es dans des paniers mĂ©talliques qui sont disposĂ©s dans lâautoclave qui est le plus souvent horizontale. Voici un film qui montre lâInstallation dâune ligne compĂšte dâautoclaves STERIFLOW rotatifs automatiques pour la stĂ©rilisation de plats prĂ©parĂ©s en conserve mĂ©tal. Refroidissement Le refroidissement est lâĂ©tape finale. Il permet dâarrĂȘter le traitement thermique pour Ă©viter les phĂ©nomĂšnes de sur-cuisson et il doit ĂȘtre fait rapidement. Câest directement dans lâautoclave et sous pression que le refroidissement a lieu. Ă la sortie, les boĂźtes de conserves sont donc prĂȘtes Ă ĂȘtre stockĂ©es et transportĂ©es. Ă la section Cycle de stĂ©rilisation, le refroidissement est expliquĂ© plus en dĂ©tail. 4-La destruction thermique des micro-organismes Le traitement thermique dâun produit Ă©a pour but dâassurer la stabilitĂ© biologique du produit a tempĂ©rature ambiante. Pour cela, les micro-organismes et leurs toxines, dont la prĂ©sence ou la prolifĂ©ration pourrait altĂ©rer la denrĂ©e considĂ©rĂ©e ou la rendre impropre Ă lâalimentation humaine, doivent ĂȘtre, soit dĂ©truits par le traitement thermique, soit inhibes par la composition du produit. 41- paramĂštres influençant le rĂ©sultat de lâopĂ©ration unitaire De nombreux paramĂštres liĂ©s au produit et/ou aux microorganismes prĂ©sents dans le produit peuvent faciliter ou rendre plus difficile la destruction des micro-organismes. Voici les paramĂštres les plus influents 411- paramĂštres liĂ©s au produit le pH du produit âą Les produits dont le pH est supĂ©rieur ou Ă©gal Ă 4,5 sont traitĂ©s a des tempĂ©ratures supĂ©rieures a 100°C stĂ©rilisation entre 105°C et 140°C pour garantir une destruction suffisante des spores de Clostridium botulinum et assurer leur stabilitĂ© biologique a tempĂ©rature ambiante. Câest le cas de la plupart des produits appertisĂ©s. La limite de pH fixĂ©e supĂ©rieure ou Ă©gale a 4,5 correspond Ă la limite de croissance de Clostridium botulinum germe sporulĂ© pathogĂšne de rĂ©fĂ©rence et aussi de la majoritĂ© des autres germes sporulĂ©s. Les levures, les moisissures et les bactĂ©ries non sporulantes sont, elles, capables de se dĂ©velopper a des pH infĂ©rieurs a 4,5 mais leur capacitĂ© de rĂ©sistance a la chaleur est faible. âą Les produits acides de pH infĂ©rieur a 4,5 sont dĂ©favorables au dĂ©veloppement des microorganismes pathogĂšnes ; ils peuvent donc ĂȘtre soumis Ă un traitement thermique plus modĂ©rĂ© souvent Ă une tempĂ©rature infĂ©rieure a 100°C pasteurisation. De plus, dans certains cas, lorsque le produit sây prĂȘte, le pH peut ĂȘtre abaissĂ© en dessous de 4,5, par exemple, par addition dâacides organiques, de vinaigre, etc.. Il sâagit, dans ce cas, de produits acidifiĂ©s Ă pH infĂ©rieur a 4,5 et il devient alors Ă©galement possible de stabiliser la denrĂ©e par des traitements thermiques infĂ©rieurs a 100°C pasteurisation. Ce traitement thermique de pasteurisation, associe a un pH infĂ©rieur Ă 4,5 homogĂšne dans le produit et Ă un conditionnement Ă©tanche, peut garantir la stabilitĂ© biologique a tempĂ©rature ambiante des produits. Exemples de produits pasteurisĂ©s par appertisation compote de pommes, conserve de tomates, conserve de fruits au sirop poire, pĂȘche, abricot, conserve de cornichons,âŠâą Voici un schĂ©ma qui synthĂ©tise lâinfluence du pH sur lâintensitĂ© du traitement thermique appliquĂ© en appertisation les caractĂ©ristiques microbiologiques du produit âą Charge initiale N0 microbienne du produit mĂȘme sâil est difficile dâĂ©valuer Ă chaque fois la contamination initiale des matiĂšres premiĂšres, il est important de la maitriser Ă travers un cahier des charges quâon passe avec le fournisseur. Si cette contamination initiale arrivait Ă augmenter par accident rupture de la chaine du froidâŠ, toute chose Ă©gale par ailleurs, lâappertisation ne dĂ©truisant quâune proportion de microorganismes appelĂ©e nombre ou taux de rĂ©duction dĂ©cimale n, le produit appertisĂ© verrait sa contamination finale N augmentĂ©e. Des contrĂŽles de stabilitĂ©s sont dâailleurs pratiquĂ©s sur les produits finis. LâhygiĂšne de fabrication est dâailleurs importante Ă maitriser afin dâĂ©viter lâaugmentation de N0 pendant les Ă©tapes de prĂ©paration de la matiĂšre premiĂšre ! âą La thermorĂ©sistance des microorganismes Les bactĂ©ries rĂ©sistent plus que les levures et les moisissures au traitements thermiques de conservation. Les formes sporulĂ©es des bactĂ©ries rĂ©sistent plus que les formes vĂ©gĂ©tatives. On mesure la thermorĂ©sistance des microorganismes par le paramĂštre DTqui correspond Ă la durĂ©e de rĂ©duction dĂ©cimale Ă la tempĂ©rature T ; en dâautres termes, DT correspond Ă la durĂ©e de chauffage Ă la tempĂ©rature T qui permet de dĂ©truire 90% ou de diviser par 10 une population de microorganismes. Voici des exemples On se doute bien quâentre tous ces germes câest qui est le plus thermoresistant ! Mais heureusement il nâest pas pathogĂšne ! On dĂ©finit par germe de rĂ©fĂ©rence le microorganisme pathogĂšne le plus thermorĂ©sistant ;en stĂ©rilisation, il sâagit de Clostridium botulinum qui comme son nom le laisse sous entendre est responsables du botulisme !! LâActivitĂ© de lâeau Activity of Water notĂ©e Aw LâactivitĂ© de lâeau Aw est un facteur permettant dâĂ©valuer, dans un produit, la teneur en eau disponible pour les micro-organismes. Lâabaissement de lâAw sâoppose Ă lâactivitĂ© microbienne. Les produits Ă humiditĂ© Ă©levĂ©e, dont lâAw est supĂ©rieure Ă 0,85, doivent donc subir un traitement de stĂ©rilisation pour ĂȘtre stables Ă tempĂ©rature ambiante. On peut donner lâexemple de 2 produits similaires qui varient par leur Aw le lait concentrĂ© sucrĂ© est pasteurisĂ© alors que la version non sucrĂ©e qui a une Aw plus forte doit ĂȘtre stĂ©rilisĂ©e ! Le taux de matiĂšre grasse MG et dâextrait Sec ES Une forte proportion de MG et/ou dâextrait sec dans le produit va protĂ©ger les microorganismes et va donc nĂ©cessiter un traitement thermique plus sĂ©vĂšre ! La texture du produit La texture du produit viscositĂ©, taille des particules et ratio solide/liquide est un facteur essentiel puisque dans le procĂ©dĂ© dâappertisation classique, la chaleur du fluide chauffant, est transmise au produit Ă travers la paroi du rĂ©cipient et pĂ©nĂštre plus ou moins vite Ă lâintĂ©rieur du produit jusquâau point le plus lent Ă sâĂ©chauffer, appelĂ© point critique. Ce point critique, ou zone critique, est la zone atteinte en dernier par la chaleur. Câest donc la tempĂ©rature au point critique en fonction du temps qui doit servir de rĂ©fĂ©rence Ă lâĂ©valuation du barĂšme de stĂ©rilisation. On placera la sonde du produit Ă ce niveau. âą Pour les produits solides pĂątĂ© de campagne par exemple le point critique est situĂ© au centre gĂ©omĂ©trique de la boite car les transferts thermiques se font par conduction. âą Pour les produit liquides soupes, lait concentré⊠le point critique est situĂ© sur lâaxe vertical de la boite Ă 1/3 du fond car les transferts thermiques se font par convection. On peut dâailleurs accĂ©lĂ©rer ces transferts par agitation des conserves autoclave avec option agitation des boites. âą Dans le cas des produits hĂ©tĂ©rogĂšnes, le point critique est gĂ©nĂ©ralement localisĂ© dans la particule la plus grosse ou la moins conductrice de la chaleur, qui nâest pas obligatoirement placĂ©e au centre gĂ©omĂ©trique du rĂ©cipient. Les additifs et ingrĂ©dients entrant dans la formulation et les prĂ©traitements du produit peuvent apporter dâune part un comportement particulier lors du traitement thermique augmentation de la viscositĂ©, par exemple ou dâautre part un effet sur la thermorĂ©sistance des germes. Influence des prĂ©traitements blanchiment, prĂ©cuisson Lors de la fabrication du produit, lâensemble des prĂ©traitements, tels que le blanchiment ou la prĂ©cuisson, doivent ĂȘtre adaptĂ©s et maĂźtrisĂ©s pour tenir compte notamment de la cuisson du produit apportĂ©e par le traitement thermique de stĂ©rilisation ou de pasteurisation ultĂ©rieur. Ces opĂ©rations de traitements thermiques de surface permettent aussi de baisser la charge microbienne initiale. Le prĂ©chauffage ou la prĂ©cuisson des aliments permettent notamment dâĂ©vacuer lâair contenu dans les produits ou les rĂ©cipients qui, en se dilatant au cours du traitement thermique, dĂ©velopperait des pressions excessives, nuisibles Ă lâĂ©tanchĂ©itĂ© de lâemballage. Ce dĂ©gazage est indispensable pour certains produits renfermant beaucoup dâair comme les fruits, les lĂ©gumes ou les produits carnĂ©s. 412- paramĂštres liĂ©s au process/autoclave Nous allons Ă©tudier les paramĂštres liĂ©s Ă lâautoclave puisau conditionnement. Le principe de la stĂ©rilisation fait intervenir trois paramĂštres la tempĂ©rature, la pression et la durĂ©e. Lâapplication prĂ©cise de la combinaison de ces paramĂštres doit ĂȘtre assurĂ©e par les matĂ©riels de traitement thermique adaptĂ©s discontinu/continu, statique/agitĂ©, nature du fluide chauffant utilisĂ©. Par ailleurs, la maĂźtrise des contre-pressions et des transferts de chaleur au cours des traitements est primordiale pour garantir lâintĂ©gritĂ© des emballages. Rotation et/ou Agitation Lâagitation du produit pendant lâappertisation va accĂ©lĂ©rer les transferts thermiques en crĂ©ant une convection forcĂ©e pour les produits sâĂ©chauffant par convection liquide plus ou moins visqueux ; lâagitation ne prĂ©sente donc aucun intĂ©rĂȘt pour les produits solides ! La rotation des emballages axiale ou End over End lors de leur traitement thermique amĂ©liore pour certains produits la pĂ©nĂ©tration de chaleur et le transfert de tempĂ©rature dans le produit, en induisant des mouvements de convection forcĂ©e. LâefficacitĂ© de la rotation est conditionnĂ©e par diffĂ©rents facteurs tels que la vitesse de rotation, le volume de lâespace de tĂȘte, le type dâagitation, le ratio solide/liquide, la dimension des morceaux ou encore la consistance des produits. Si une rotation est prĂ©vue lors de lâĂ©tablissement du barĂšme, il est indispensable de respecter sa mise en place tant en vitesse que dans le positionnement des emballages rotation End over End ou axiale. Plan de chargement La bonne circulation du fluide chauffant conditionne en grande partie lâhomogĂ©nĂ©itĂ© de tempĂ©rature recherchĂ©e dans lâappareil. Il est trĂšs important que le fluide chauffant, eau ou vapeur ou air + vapeur, puisse circuler de façon homogĂšne entre les rĂ©cipients. Ă cette fin, un plan de chargement des paniers doit ĂȘtre dĂ©fini lors de la mise au point du barĂšme utilisation Ă©ventuelle dâintercalaires, rĂšgles dâempilement, etc. TempĂ©rature initiale du produit La tempĂ©rature du produit au dĂ©but du traitement thermique doit ĂȘtre maĂźtrisĂ©e pour une stĂ©rilisation correcte. Une tempĂ©rature initiale infĂ©rieure Ă la tempĂ©rature de consigne peut avoir une influence sur lâintensitĂ© du traitement thermique dans le produit. Cette tempĂ©rature peut varier, dâune part, selon la maĂźtrise des tempĂ©ratures initiales des composants lors du remplissage et, dâautre part, selon le temps dâattente entre le premier et le dernier produit chargĂ© dans lâautoclave. DĂ©lai de mise en rĂ©gime de lâautoclave=CUT Le dĂ©lai de mise en rĂ©gime de lâautoclave ou CUT Come up Time doit ĂȘtre pris en compte lors de la dĂ©termination dâun barĂšme de stĂ©rilisation. Si le dĂ©lai de mise en rĂ©gime est plus court que la valeur de consigne, lâĂ©lĂ©vation de tempĂ©rature du produit est moindre durant cette phase. Le dĂ©lai de mise en rĂ©gime de lâappareil utilisĂ© doit ĂȘtre dĂ©terminĂ© dans des conditions normales de production, câest-Ă -dire avec un remplissage habituel. Un barĂšme dĂ©terminĂ© pour un certain dĂ©lai de mise en rĂ©gime nâest pas applicable si ce dĂ©lai est raccourci. Certains procĂ©dĂ©s continus induisent un CUT nul. TempĂ©rature de rĂ©gime La tempĂ©rature de consigne dans lâautoclave au cours du traitement thermique doit ĂȘtre maĂźtrisĂ©e pour les diffĂ©rentes phases du cycle. Une tempĂ©rature de rĂ©gime infĂ©rieure Ă la tempĂ©rature de consigne diminue lâintensitĂ© globale du traitement thermique. Refroidissement tempĂ©rature et dĂ©bit dâeau Le profil thermique du refroidissement tempĂ©rature et dĂ©bit dâeau de refroidissement doit ĂȘtre maĂźtrisĂ© pour assurer lâapplication correcte du traitement thermique. En effet, pour certains produits, une partie de la valeur stĂ©rilisatrice ou pasteurisatrice est acquise durant la phase de refroidissement, par consĂ©quent une tempĂ©rature dâeau de refroidissement trop basse peut accĂ©lĂ©rer le refroidissement du produit et ainsi rĂ©duire lâintensitĂ© globale du traitement thermique. Par contre, un refroidissement Ă une tempĂ©rature trop Ă©levĂ©e peut entraĂźner une dĂ©gradation de la qualitĂ© finale du produit. Cette phase doit ĂȘtre prise en compte lors de lâĂ©tablissement du procĂ©dĂ©. On estime quâen fin de refroidissement le produit doit ĂȘtre en dessous de 50°C pour une qualitĂ© organo-nutritionelle optimale. De plus, un traitement de lâeau peut ĂȘtre envisagĂ© pour veiller Ă la qualitĂ© sanitaire de lâeau de refroidissement. Abordons maintenant les paramĂštres liĂ©s au conditionnement Nature et format de lâemballage La pĂ©nĂ©tration de la chaleur dans un produit dĂ©pend autant de la nature mĂȘme de ce produit que de lâemballage qui le contient, dĂ©terminant par sa forme, sa nature, sa taille, son volume utile. Le changement dâun contenant pour un autre nâest pas sans consĂ©quence sur le traitement thermique qui doit, de ce fait, ĂȘtre adaptĂ©. Influence du remplissage de lâemballage Le remplissage de lâemballage doit ĂȘtre maĂźtrisĂ© car un remplissage excessif peut modifier dĂ©favorablement le traitement thermique appliquĂ© au produit, compromettre lâĂ©tanchĂ©itĂ© par dĂ©formation des rĂ©cipients, faire obstacle aux courants de convection et, de ce fait, ralentir les transferts de chaleur. De mĂȘme, la proportion solide/liquide influe aussi sur le transfert de chaleur et doit ĂȘtre Ă©galement maintenue dans des limites appropriĂ©es. Pour tous les procĂ©dĂ©s impliquant la rotation des emballages, la maĂźtrise du volume dâespace de tĂȘte est primordiale puisque elle conditionne la taille de la bulle » dont le dĂ©placement favorise les transferts thermiques dans lâemballage. Importance de la maitrise du conditionnement Si lâĂ©tanchĂ©itĂ© du conditionnement nâest pas maitrisĂ©, il y a risque de perte de la stĂ©rilitĂ© du produit ! En HACCP, lâĂ©tape de capsulage ou sertissage est un point critique pour la maitrise CCP. Le tableau suivant synthĂ©tyse les points Ă maitriser auniveau du conditionnement 42- Notions de thermobactĂ©riologie La thermobactĂ©riologie est gĂ©nĂ©ralement prĂ©sentĂ©e comme la science qui Ă©tudie lâimpact des traitements thermiques sur la survie ou la destruction des diffĂ©rentes formes de micro-organismes. 421- La courbe de survie La destruction thermique des microorganismes micro-organismes sous formes vĂ©gĂ©tatives bactĂ©ries, levures, moisissures, et sous forme sporulĂ©e spores bactĂ©riennes, ascospores de moisissures, suit gĂ©nĂ©ralement des cinĂ©tiques dâordre 1 dĂ©croissance logarithmique en fonction du temps, pour une tempĂ©rature constante. On parle de courbe de survie ! LâĂ©quation de la droite de survie en âcoordonnĂ©es Log â log N = ft nous donne les relations suivantes LâĂ©quation de la courbe de survie peut donc finalement sâĂ©crire lĂ©gendes N0= concentration initiale en microorganisme N= concentration en microorganisme survivant t= durĂ©e du traitement thermique en min. DT= DurĂ©e de rĂ©duction dĂ©cimale en min. Ă la tempĂ©rature constante T °C Remarque on peut remarquer que scientifiquement parlant, la stĂ©rilitĂ© absolue nâexiste pas ! La charge rĂ©siduelle aprĂšs une stĂ©rilisation est trĂšs proche de 0 exN=10-6 mais N ne peut pas ĂȘtre nulle ! De fait, on considĂšre toujours une probabilitĂ© de prĂ©sence de micro-organismes Ă©ventuellement survivants », qui sâexprime sous forme dâune trĂšs faible probabilitĂ© de rencontrer, dans un lot donnĂ© dâun trĂšs grand nombre de contenants, un contenant renfermant encore un micro-organisme survivant pouvant sây dĂ©velopper et conduire Ă une non-stabilitĂ© microbiologique. Une autre consĂ©quence Ă©vidente est que le niveau initial de contamination biologique influe directement, pour un traitement dâintensitĂ© donnĂ©, sur cette probabilitĂ© rĂ©siduelle de survie. La contamination initiale est pour cette raison retenue comme point critique du procĂ©dĂ©. De ce concept gĂ©nĂ©ralement acceptĂ© que la stĂ©rilitĂ© absolue nâexiste pas » est nĂ©e la notion de stabilitĂ© biologique constatĂ©e » ou pratique » ou stĂ©rilitĂ© commerciale », câest-Ă -dire un niveau de sĂ©curitĂ© appliquĂ© avec le traitement choisi trĂšs largement suffisant Ă confĂ©rer au lot une stabilitĂ© biologique de fait dans la pratique. Le produit appertisĂ© conforme doit ainsi prĂ©senter la stabilitĂ© biologique sans que la stĂ©rilitĂ© au sens strict ne soit absolument requise. 422- Influence de la tempĂ©rature Droite de destruction ou rĂ©sistance thermique Ătude de lâinfluence du temps t de chauffage sur la tempĂ©rature T du traitement pour une mĂȘme efficacitĂ© de destruction thermique n ou E=constante Le taux de rĂ©duction dĂ©cimale n ou E se calcule de la maniĂšre suivante n=E= LogN0/N lĂ©gendes N0= concentration initiale en microorganisme N= concentration en microorganisme survivant La ïŹgure ci dessus montre la relation existant entre le temps de chauffage et la tempĂ©rature lĂ©tale dâexposition Ă la chaleur permettant dâobtenir un taux de rĂ©duction n donnĂ©. Ces couples TempĂ©rature de chauffage pendant une durĂ©e donnĂ©e se nomment barĂšme de traitement thermique. Ces barĂšmes sont notĂ©s T ; t. Ainsi, plus la tempĂ©rature de chauffage T est Ă©levĂ©e, plus le temps t de destruction thermique est faible. Le modĂšle de Bigelow permet de montrer quâexpĂ©rimentalement, pour un taux de destruction n donnĂ©, le temps de traitement t et la tempĂ©rature T sont liĂ©s par une relation linĂ©aire. Autrement dit, plusieurs barĂšmes de chauffage peuvent atteindre la mĂȘme efficacitĂ© de destruction thermique n=E= constante. le temps de chauffage suit une loi de rĂ©duction dâordre 1 en fonction de la tempĂ©rature logt = + b Cette droite est appelĂ©e droite de destruction ou rĂ©sistance thermique. LâĂ©quation de cette courbe de barĂšmes Ă©quivalents sâĂ©crit pour deux barĂšmes suivant Ă©quivalents T1 ; t1 = T2 ; t2 t1 = t2 * 10 T2 - T1/z ou encore en Log log t1/t2 = T2-T1/z Cette formule est utilisable avec les durĂ©es de rĂ©ductions dĂ©cimale DT DT1 = DT2 * 10 T2 - T1/z ou encore en Log log DT1/DT2 = T2-T1/z Le Facteur dâinactivation thermique z En traçant la courbe logt =fT ou logD = fT, il est possible de dĂ©terminer le facteur dâinactivation thermique z. La pente de cette droite est -1/z DĂ©termination graphique de z Ă partir de la droite logt = fT°C DĂ©termination graphique de z Ă partir de la droite t = fT°C DĂ©finition de z Le facteur z est lâĂ©lĂ©vation de tempĂ©rature qui permet de diviser par 10 le temps de chauffage t ou le temps de rĂ©duction dĂ©cimal D pour une mĂȘme efficacitĂ© de destruction microbienne n ou E= constante Z est encore appelĂ© facteur dâactivation thermique Sur une reprĂ©sentation graphique en coordonnĂ©es semi-logarithmiques la dĂ©termination de z se rĂ©alise par interpolation. Ainsi, z est un paramĂštre de thermonĂ©sistance caractĂ©ristique de chaque espĂšce de micro-organisme. En gĂ©nĂ©ral, z est dâenviron 10°C pour les formes sporulĂ©es et de 5âC pour les formes vĂ©gĂ©tatives. Exemples de valeurs de D et z Le tableau donne quelques exemples de valeurs de D et de z pour des bactĂ©ries forme sporulĂ©e dans divers substrats aliments ou autres solutions tampon. Le temps dâexposition Ă la chaleur est un paramĂštre aussi important que la tempĂ©rature. Ces valeurs ne sont donnĂ©es quâĂ titre indicatif ; ce ne sont que des ordres de grandeur et des mesures expĂ©rimentales effectuĂ©es en laboratoire, par exemple en suspension dans du tampon phosphate Ă pH 7 ou dans une matrice prĂ©cise. Ces valeurs doivent ĂȘtre utilisĂ©es avec une extrĂȘme prudence pour le calcul de traitements thermiques appliquĂ©s Ă des matrices alimentaires . Il nâexiste pas de valeurs gĂ©nĂ©riques » de D et Z utilisables en conception de barĂšme. Ces valeurs dĂ©pendent Ă©troitement de la nature du produit et la thermorĂ©sistance varie Ă©galement fortement dâune souche Ă lâautre, Ă lâintĂ©rieur dâune mĂȘme espĂšce bactĂ©rienne. 43- Notions de Valeur StĂ©rilisatrice Afin de permettre une comparaison facile de diffĂ©rents traitements, isothermes ou non isothermes, la valeur stĂ©rilisatrice notĂ©e VS ou encore F0 en littĂ©rature anglo-saxonne est dĂ©finie comme une Ă©chelle dâintensitĂ© de traitement thermique » âą il est postulĂ© que la destruction thermique des spores microbiennes prĂ©sente une valeur de Z proche de 10 °C ; âą la tempĂ©rature de 121,1°C 250 F est retenue comme rĂ©fĂ©rence internationale pour la stĂ©rilisation ; âą lâintensitĂ© totale intĂ©grĂ©e cumulative dâun traitement non isotherme peut ĂȘtre exprimĂ©e comme la somme des intensitĂ©s de chaque instant passĂ© aux diffĂ©rentes tempĂ©ratures. Il est ainsi possible dâexprimer la valeur stĂ©rilisatrice 431- DĂ©finition de la VS On appelle valeur stĂ©rilisatrice notĂ©e VS ou F0 la durĂ©e de chauffage en minute Ă la tempĂ©rature de rĂ©fĂ©rence Tref correspondant au mĂȘme taux de rĂ©duction dĂ©cimale n que le barĂšme rĂ©ellement appliquĂ© au produit . 432- Calcul de la VS Ă priori par rapport Ă un cahier des charges VS = F0 = n * lĂ©gende VS = F0= valeur stĂ©rilisatrice en minute n= nombre de rĂ©duction dĂ©cimale Ă atteindre= log N0/N DurĂ©e de rĂ©duction dĂ©cimale en min. Ă la tempĂ©rature de rĂ©fĂ©rence de La VS Ă atteindre dĂ©pendra donc du taux de rĂ©duction dĂ©cimale Ă atteindre n et de la thermorĂ©sistance du germe de rĂ©fĂ©rence qui est dans le cas de la stĂ©rilisation Clostridium botulinum dont on sait que = min. En gĂ©nĂ©ral le taux de rĂ©duction dĂ©cimale Ă atteindre se situe autour de n=12 seuil de risque classiquement pris en stĂ©rilitĂ© commerciale, ce qui aboutit Ă une VS = 12* min, ce qui ne correspond en rien Ă une rĂ©glementation, ni Ă un minimum car en Europe, le paquet hygiĂšne sâen remet Ă la responsabilitĂ© de lâindustriel qui a une obligation de rĂ©sultat absence de toxicitĂ© du produit mis en vente mais pas de moyen ! 433- Calcul de la VS Ă postĂ©riori Ă partir de lâenregistrement de tempĂ©ratures On peut connaitre la valeur stĂ©rilisatrice VS correspondant Ă un barĂšme de pasteurisation appliquĂ© Ă un produit grĂące Ă la formule de BIGELOW qui est directement issue de la formule des barĂšmes Ă©quivalentes expliquĂ©s plus haut T1 ; t1 = T2 ; t2 t1 = t2 * 10 T2 - T1/z La formule de BIGELOW correspondant au barĂšme T1 ; t1 est F0=VS= t1 * 10 T1-Tref/z lĂ©gende VS = F0= valeur stĂ©rilisatrice en minute t1= durĂ©e du barĂšme rĂ©ellement appliquĂ© en min. T1= tempĂ©rature du barĂšme rĂ©ellement appliquĂ© en °C TRef= TempĂ©rature de rĂ©fĂ©rence = z= paramĂštre de thermorĂ©sistance facteur dâinactivation du microorganisme de rĂ©fĂ©rence = 10°C. Cas du traitement thermique non isotherme Si on peut concevoir que pour un traitement thermique isotherme, la VS se calcule facilement grĂące Ă la formule de Bigelow cas de la stĂ©rilisation en vrac en Ă©changeur de chaleur type UHT non traitĂ© ici, le calcul est beaucoup plus dĂ©licat en appertisation lorsque le produit passe par une succession de tempĂ©rature traitement non isotherme dont seules celles qui sont supĂ©rieures Ă 100°C ont un effet lĂ©tal stĂ©rilisant. Pour un traitement thermique non isotherme, on utilisera la formule suivante pour calculer la VS Pour rĂ©soudre cette intĂ©grale, on peut utiliser la mĂ©thode de calcul de la VS partielle avec la formule suivante, Il est ainsi possible de calculer les valeurs stĂ©rilisatrices partielles VSP de chaque intervalle de temps le plus petit possible aïŹn de considĂ©rer que la tempĂ©rature y est constante lĂ©gende VS = F0= valeur stĂ©rilisatrice en minute At= intervalle de temps en min. Ti= tempĂ©rature dans lâintervalle de temps en °C TRef= TempĂ©rature de rĂ©fĂ©rence = z= paramĂštre de thermorĂ©sistance facteur dâinactivation du microorganisme de rĂ©fĂ©rence = 10°C. Câest cette mĂ©thode dâintĂ©gration numĂ©rique qui est utilisĂ©e par les calculateurs type ELLAB pour dĂ©terminer la VS dâun produit pendant sa stĂ©rilisation. 434- Exemples de VS Il nâexiste pas de VS standard quâon pourrait choisir en fonction du produit Ă appertiser. Lâindustriel doit la dĂ©terminer en fonction de tous les paramĂštres influençant la thermorĂ©sistance des microorganismes Ă©tudiĂ©s plus haut la VS Ă appliquer Ă son produit ! Il existe des centres techniques comme le CTCPAqui sont spĂ©cialisĂ©s dans la dĂ©termination des VS pour les professionnels. Voici des exemple de VS en min. pratiquĂ©es en industrie 44- Les contrĂŽles de lâefficacitĂ© de lâappertisation Comme toute opĂ©ration unitaire, il est important de pouvoir contrĂŽler lâefficacitĂ© de cette derniĂšre. On peut vĂ©rifier lâefficacitĂ© dâune appertisation en enregistrant la tempĂ©rature du produit pendant son autoclavage et en calculant la valeur stĂ©rilisatrice atteinte. Cette mĂ©thode permet de valider un barĂšme de stĂ©rilisation, câest Ă dire de vĂ©rifier que le barĂšme utilisĂ© sur lâautoclave en pratique permet dâatteindre la VS prĂ©vue. Une deuxiĂšme mĂ©thode qui est systĂ©matiquement utilisĂ©e par les industriels est la rĂ©alisation de tests de stabilitĂ© biologique par incubation que nous allons dĂ©tailler ici. Les tests de stabilitĂ© prĂ©voient gĂ©nĂ©ralement lâincubation dâĂ©chantillons durant plusieurs jours Ă basse 15 Ă 25 °C, moyenne 30 Ă 40 °C et/ou haute 50 Ă 60 °C tempĂ©rature. Le test dâincubation valide si des micro-organismes mĂ©sophiles ou thermophiles vivants sont encore prĂ©sents et capables de prolifĂ©rer dans le produit supposĂ© stĂ©rile. La croissance des micro-organismes est usuellement observĂ©e indirectement par â la production de gaz principalement du CO2 , parfois H2S, H2 dans lâemballage la non stabilitĂ© est constatĂ©e en cas de dĂ©formation de lâemballage, ou par mesure de pression interne. Certains micro-organismes ne produisent que trĂšs peu de gaz durant leur croissance ; aussi il est indispensable de combiner la dĂ©tection de production de gaz avec dâautres moyens de mesure ; â la dĂ©croissance du pH durant lâincubation. Le pH de lâĂ©chantillon incubĂ© ne doit pas ĂȘtre diffĂ©rent maximum 0,5 unitĂ© de pH dâĂ©cart, du tĂ©moin non incubĂ© gardĂ© Ă tempĂ©rature ambiante. Toutefois, certains micro-organismes ne produisent que peu dâacides organiques durant leur croissance. Dans le cas de chute discrĂšte du pH entre 0,3 et 0,5 unitĂ© de pH, par exemple, un examen microscopique des Ă©chantillons est utilisĂ© comme moyen complĂ©mentaire pour le contrĂŽle de la stabilitĂ©. La rĂ©glementation française relative aux produits appertisĂ©s prĂ©voit les contrĂŽles de stabilitĂ© avec les paramĂštres suivants â lâĂ©chantillonnage de 3 ou 5 prĂ©emballages issus du mĂȘme lot de produit ; â la conservation du tĂ©moin Ă 20°C ; â un ou deux individus incubĂ©s Ă 37°C/7 jours mĂ©thode rapide usuelle norme AFNOR V08-408, ou 32°C/21 jours mĂ©thode dâexpertise de rĂ©fĂ©rence norme AFNOR V08-401, puis refroidis Ă 20°C ; â un ou deux individus incubĂ©s Ă 55°C/7 jours, puis refroidis Ă 20°C. Ces contrĂŽles de stabilitĂ© sont les suivants â Examen des emballages ils ne doivent prĂ©senter aucune dĂ©formation apparente. â Mesure de pH aucune diffĂ©rence supĂ©rieure ou Ă©gale Ă 0,5 unitĂ© de pH entre le tĂ©moin et lâindividu incubĂ© Ă 32 ou 37°C, nâest tolĂ©rĂ©e. â Examen du produit couleur et odeur normales. Si toutes les caractĂ©ristiques des Ă©chantillons incubĂ©s Ă 32 ou 37°C sont normales, comparĂ©es Ă celle des tĂ©moins, la stabilitĂ© est constatĂ©e et le lot entier est considĂ©rĂ© comme stable commercialement et sain. A titre dâinformations, voici les points essentiels qui seront vĂ©rifiĂ©s lors dâune inspection dâune entreprise qui fabrique des conserves Lors des contrĂŽles dâĂ©tablissements mettant sur le marchĂ© des produits vĂ©gĂ©taux ou produits animaux appertisĂ©s, une attention particuliĂšre sera portĂ©e, notamment, sur â la compĂ©tence des opĂ©rateurs pour ces productions ; Ă dĂ©faut, il sera ordonnĂ© le suivi dâactions de formation adaptĂ©es Ă lâattention du personnel ; â les mesures de maĂźtrise de lâĂ©tanchĂ©itĂ© des rĂ©cipients ; â lâefficacitĂ© de lâacidification au-dessous du pH 4,5 et de son maintien dans le temps pour les produits acides ou acidifiĂ©s ; â la validation et le respect des barĂšmes de traitement thermique ; â la stabilitĂ© biologique des denrĂ©es ; â les mesures prises pour empĂȘcher toute recontamination aprĂšs le traitement thermique, en particulier au cours du refroidissement ; â la gestion des Ă©ventuels dĂ©fauts de maĂźtrise du procĂ©dĂ© de fabrication. 5-Les autoclaves Les autoclaves sont des matĂ©riels permettant de chauffer le produit Ă travers son emballage grĂące Ă un fluide thermique eau ou vapeur souvent Ă pression Ă©levĂ©e,ce qui rend ce matĂ©riel dangereux Ă la conduite. Son maniement nĂ©cessite une habilitation formation prĂ©alable. Description dâun autoclave discontinu statique simple Lâautoclave est lâappareil classique de lâappertisation. Câest une enceinte cuve fermĂ©e hermĂ©tiquement, qui permet de stĂ©riliser un produit Ă une tempĂ©rature Ă©levĂ©e sous pression T° > 100°C. Le chauffage est rĂ©alisĂ© grĂące Ă la vapeur saturante ou par de lâeau surchauffĂ©e. La pression est soit simplement liĂ©e Ă augmentation de tempĂ©rature, soit rĂ©gulĂ©e en plus par injection dâair comprimĂ©e contrepression. Lâautoclave comporte toujours voir schĂ©ma ci dessus Une chambre de stĂ©rilisation, horizontale ou verticaleUne admission de fluide caloporteur vap ou eau surchauffĂ©e Une rĂ©gulation fine de la tempĂ©rature Une entrĂ©e et sortie dâeau de refroidissementDes soupapes de sĂ©curitĂ©Un thermomĂštre Ă alcool et disque enregistreurUn manomĂštre Souvent on peut trouver aussi Une rĂ©gulation de Pression air comprimĂ©Un dispositif dâagitation du produitUn rĂ©cupĂ©rateur dâeau et dâĂ©nergie Principe de base de classification des autoclaves On peut trouver des classifications des autoclaves suivant diffĂ©rents critĂšres tels que Fonctionnement continu ou discontinu Discontinu traite les produits par lot quantitĂ© limitĂ©e dans des paniers, avec nĂ©cessitĂ© dâun arrĂȘt entre les cycles de stĂ©rilisation des diffĂ©rents lots. Un point fort => mĂȘme appareil peut ĂȘtre utilisĂ© pour des boites de plusieurs types, ou plusieurs formats ou gĂ©omĂ©trie â continu 1 seul type de boite voir 1 seul format. Simples, fiables et faciles dâentretien car moins dâĂ©lĂ©ments mĂ©caniques. Continu traite les produits en continu => sont amenĂ©s dans chambre dâautoclavage par convoyeur => pas dâarrĂȘt entre les diffĂ©rents lots. NĂ©cessite moins de main dâĆuvre => pas besoin de personnel pour charger dĂ©charger, transporter les boites mĂȘme si discontinus sont de + en + automatisĂ©s ; Pas de nĂ©cessitĂ© de chauffer lâautoclave Ă chaque cycle lâautoclave continu est thermiquement en Ă©tat stationnaire => Ă©conomies dâĂ©nergie Consomme moins dâeau de refroidissement car on ne refroidit que le produit, alors quâen discontinu Il faut refroidir produit et autoclave. Mais si conçus pour fort dĂ©bit et durĂ©e de stĂ©rilisation Ă©levĂ©e => trĂšs encombrant au sol. Continu conviendra pour des entreprises ayant une grosse production et une gamme de produits restreinte Discontinu production + restreinte mais avec gamme large ex Giraudet Autoclaves statiques ou rotatifs Rotatifs => agitation du produit pour accĂ©lĂ©rer le transferts de chaleur qui sont de type convectifs liquide plus ou moins visqueux. Pas intĂ©ressant pour produits solides oĂč les transferts thermiquesse font par conduction lâagitation nâapporte rien ; Peu intĂ©ressant pour produit trĂšs liquide peu visqueux rotation apporte peu / convection naturelle. Si produit en barquettes => pas de retournement possible => pas utilisable. StĂ©rilisation Ă lâeau ou Ă la vapeur ConductibilitĂ© thermique eau + faible / vapeur => montĂ©e en T° plus lente avec eau. Mais eau limite risques de choc thermique au chauffage et surtout au refroidissement. Lâeau est le fluide thermique obligatoire pour les emballage en verre type bocaux ou bouteille, car le matĂ©riau verre nĂ©cessite pas au chocs thermiques prĂ©sents avec la vapeur ! ; on pourra utiliser la vapeur pour stĂ©riliser les autres matĂ©riaux plus rĂ©sistants boites mĂ©talliques ou plastiques ; Consommation dâĂ©nergie plus importante avec lâeau car nĂ©cessitĂ© de chauffer lâeau avec de la vapeur chauffe eau puis produits ; avec vapeur => chauffe directement le produitdt. Parfois attĂ©nuĂ© par rĂ©cupĂ©ration de chaleur de lâeau de chauffage. types dâautoclaves discontinus 531 - Le StĂ©riflow Voir lâanimation trĂšs bien faite du fonctionnement du StĂ©riflow Voici les principales caractĂ©ristiques Discontinu, horizontal avec agitation en option Boites aspergĂ©es sous pluie violente dâeau surchauffĂ©e T°> 100°C grĂące Ă P > Patm., produite dans un Ă©changeur Ă plaques utilisant de la vapeur. Eau recyclĂ©e circule en circuit fermĂ©e => Ă©conomie dâeau. Pour le refroidissement lâeau dâaspersion est refroidie dans lâechangeur par de lâeau froide remplaçant la vapeur RĂ©gulation de P par air comprimĂ©e contrepressionCycle entiĂšrement automatisĂ© par programmation. Statique ou rotatif panier contenant les boites tourne selon axe horizontal de la chambre 5-27 t/min. Avantages Polyvalence des autoclaves discontinus. Utilise petite quantitĂ© dâeau pouvant ĂȘtre chauffĂ©e ou refroidis trĂšs rapidement + pas de purge fonctionne Ă lâeau + rĂ©gulation de P indĂ©pendante et pas de vidange car eau recyclĂ©e => pas de temps morts => rapiditĂ©. Economie dâeau + dâĂ©nergie condensats de vapeur recyclable ; eau ayant servie Ă refroidir eau de refroidissement dans echangeur => chaude et facilement rĂ©utilisable ; pluie violente dâeau chaude => rapiditĂ© des tranferts de chaleur et homogĂ©nĂ©itĂ© des traitements thermiques. Tendance aujourdâhui => appareils souples diversitĂ© de produits souvent discontinus et trĂšs automatisĂ©s. Pour en savoir plus voir le site de lâentreprise ici 532 - Le Lagarde Lâautoclave LAGARDE est un autoclave discontinu Ă vapeur Autoclave discontinu, horizontal avec ou sans agitation StĂ©rilisation par mĂ©lange air-vapeur brassĂ© Ă©nergiquement par ventilation. Refroidissement par eau sous forme de brouillard puis par ruissellement et enfin remplissage Ă mi-niveau => rapide et homogĂšne Voir lâanimation suivante qui est trĂšs bien rĂ©alisĂ©e En dĂ©tail Temps de montĂ©e et de maintien de la tempĂ©rature La vapeur est injectĂ©e automatiquement et directement dans la chambre de lâautoclave ; Un ventilateur agitant la vapeur et lâair avec efficacitĂ© permet une rĂ©partition uniforme de la chaleur dans la chambre de lâautoclave afin de garantir une excellente prĂ©cision de tempĂ©rature pendant le temps de traitement. Ătape de refroidissement â Le refroidissement est rĂ©alisĂ© par la circuclation dâeau refroidie par de lâeau douce ou par un Ă©changeur de chaleur Ă plaques. â Lâeau provient de condensats de vapeur auxquels on ajoute une quantitĂ© dâeau de prĂ©-refroidissement. Lâaddition dâeau froide est automatiquement et progressivement maĂźtrisĂ©e afin dâĂ©liminer le choc thermique » et de contrĂŽler la diminution de tempĂ©rature. Pendant toutes les Ă©tapes de chauffe et de refroidissement, le systĂšme de contrĂŽle surveille prĂ©cisĂ©ment la tempĂ©rature et la pression Ă lâintĂ©rieur de la chambre de lâautoclave. AVANTAGES en thĂ©orie, les autoclaves Ă vapeur sont plus Ă©conomiques que les concurrents Ă lâeau au niveau Ă©nergĂ©tiques car les transferts de chaleur sont meilleurs avec la vapeur. Pour en savoir plus, voir le site de lâentreprise ici Principaux types dâautoclaves continus Nous nâaborderons ici quâun seul exemple dâautoclave continu ! Le Caravallo Il sâagit dâun autoclave hydrostatique la pression est rĂ©gulĂ©e par des colonnes dâeau de plus de 10 m ! Il y a 3 colonnes une pour la montĂ©e en tempĂ©rature, une poue maintien de la tempĂ©rature de pallier de stĂ©rilisation, et enfin une pour le refroidissement. Continu, statique, verticaleEnceinte de vapeur vapeur introduite dans la chambre oĂč se fait stĂ©rilisation, maintenue sous P par 2 colonnes dâeau en de stĂ©rilisation = T°C de vapeur saturĂ©e Ă la pression de la chambre T°C de la vapeur saturĂ©e en eau dĂ©pend de sa pression. Boites transportĂ©es par un convoyeur, pĂ©nĂštrent par la colonne de prĂ©chauffage P et T°C augmentent progressivement. Les boites pĂ©nĂštrent ensuite dans chambre de vapeur le temps de sĂ©jour est fonction de la vitesse du convoyeur. Les boites ressortent par lâautre colonne P et T°C diminuent progressivement. Lâeau froide, introduite en permanence Ă lâextrĂ©mitĂ© de la colonne de refroidissement, circule Ă contre courant / boite =>Ă©chauffement progressif et sort Ă 80°C environ chaleur est rĂ©cupĂ©rĂ©e dans un Ă©changeur. Si fait varier hauteur dâeau dans colonne => variation de P dans la chambre => variation de la T° de la vapeur = utiliser pour rĂ©guler la T°C , car permet rĂ©gulation fine H=10 m => T°=121°C ; H = 15 m => T° =127°C. Utilisable pour boites, bouteilles en verre ou en plastique, bocaux. Avantages Robuste ; Cadences Ă©levĂ©es ; Consommation dâeau et dâĂ©nergie modĂ©rĂ©e. Pas de valve dâentrĂ© => permet de traiter des rĂ©cipients de formats divers boites, bocaux, bouteilles verre, bouteilles plastiques⊠Mais TrĂšs encombrant en hauteur 15 m ; ComplexitĂ© mĂ©canique limite sa fiabilitĂ© pannes. Conclusion Voici la rĂ©actualisation du guide pratique de stĂ©rilisation rĂ©digĂ© par un formateur du centre de formation de Florac, Christophe Picard. 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Noscarottes, pommes de terre, haricots verts, petits pois et flageolets sont cultivĂ©s en plein champ, rĂ©coltĂ©s en saison et Ă bonne maturitĂ© pour une qualitĂ© irrĂ©prochable. Des lĂ©gumes français, respectueux des sols, de lâenvironnement et des hommes, et disponibles toute lâannĂ©e aprĂšs leur mise en boĂźte de conserve.
Forum / Coin salon Bonjour jâemploi de la macĂ©doine de lĂ©gumes en conserve quâĂ lâoccasion et gĂ©nĂ©ralement froid/ dois cuisiner une boĂźte de macĂ©doine de lĂ©gumes en conserve apportĂ©e par une de mes assaisonner cette macĂ©doine de lĂ©gumes Ă servir chaud en accompagnement dâĆufs en omelette ?A tenir en compte que mes dĂźneuses sont ĂągĂ©es et que les Ă©pices fortes ou exotiques nâest pas beaucoup de vos Votre navigateur ne peut pas afficher ce tag vidĂ©o. En rĂ©ponse Ă Anonyme Bonjour jâemploi de la macĂ©doine de lĂ©gumes en conserve quâĂ lâoccasion et gĂ©nĂ©ralement froid/ dois cuisiner une boĂźte de macĂ©doine de lĂ©gumes en conserve apportĂ©e par une de mes assaisonner cette macĂ©doine de lĂ©gumes Ă servir chaud en accompagnement dâĆufs en omelette ?A tenir en compte que mes dĂźneuses sont ĂągĂ©es et que les Ă©pices fortes ou exotiques nâest pas beaucoup de vos peux assaisonner la mĂ©cĂ©doine de lĂ©gumes de beurre au persil et Ă l' principe,d'aprĂše mon expĂ©rience,les personnes 'd'un certain Ăąge",aiment ces trois J'aime En rĂ©ponse Ă Anonyme Bonjour jâemploi de la macĂ©doine de lĂ©gumes en conserve quâĂ lâoccasion et gĂ©nĂ©ralement froid/ dois cuisiner une boĂźte de macĂ©doine de lĂ©gumes en conserve apportĂ©e par une de mes assaisonner cette macĂ©doine de lĂ©gumes Ă servir chaud en accompagnement dâĆufs en omelette ?A tenir en compte que mes dĂźneuses sont ĂągĂ©es et que les Ă©pices fortes ou exotiques nâest pas beaucoup de vos bien gratinĂ© et je fais cette recette mais sans le curryj'aime pas. J'aime En rĂ©ponse Ă Anonyme Bonjour jâemploi de la macĂ©doine de lĂ©gumes en conserve quâĂ lâoccasion et gĂ©nĂ©ralement froid/ dois cuisiner une boĂźte de macĂ©doine de lĂ©gumes en conserve apportĂ©e par une de mes assaisonner cette macĂ©doine de lĂ©gumes Ă servir chaud en accompagnement dâĆufs en omelette ?A tenir en compte que mes dĂźneuses sont ĂągĂ©es et que les Ă©pices fortes ou exotiques nâest pas beaucoup de vos J'aime En rĂ©ponse Ă Anonyme Bonjour jâemploi de la macĂ©doine de lĂ©gumes en conserve quâĂ lâoccasion et gĂ©nĂ©ralement froid/ dois cuisiner une boĂźte de macĂ©doine de lĂ©gumes en conserve apportĂ©e par une de mes assaisonner cette macĂ©doine de lĂ©gumes Ă servir chaud en accompagnement dâĆufs en omelette ?A tenir en compte que mes dĂźneuses sont ĂągĂ©es et que les Ă©pices fortes ou exotiques nâest pas beaucoup de vos Pourquoi pas les accommoder comme une boĂźte de petits pois? Tu fais revenir des lardons et des Ă©chalotes. Tu ajoutes tes lĂ©gumes et tu fais rĂ©chauffer tranquillement. Un peu de beurre frais au moment du service... J'aime En rĂ©ponse Ă Anonyme Bonjour jâemploi de la macĂ©doine de lĂ©gumes en conserve quâĂ lâoccasion et gĂ©nĂ©ralement froid/ dois cuisiner une boĂźte de macĂ©doine de lĂ©gumes en conserve apportĂ©e par une de mes assaisonner cette macĂ©doine de lĂ©gumes Ă servir chaud en accompagnement dâĆufs en omelette ?A tenir en compte que mes dĂźneuses sont ĂągĂ©es et que les Ă©pices fortes ou exotiques nâest pas beaucoup de vos ça peut paraitre clichĂ©, mais pourquoi pas en soupe avec un bon bouillon maison. J'aime En rĂ©ponse Ă Anonyme Bonjour jâemploi de la macĂ©doine de lĂ©gumes en conserve quâĂ lâoccasion et gĂ©nĂ©ralement froid/ dois cuisiner une boĂźte de macĂ©doine de lĂ©gumes en conserve apportĂ©e par une de mes assaisonner cette macĂ©doine de lĂ©gumes Ă servir chaud en accompagnement dâĆufs en omelette ?A tenir en compte que mes dĂźneuses sont ĂągĂ©es et que les Ă©pices fortes ou exotiques nâest pas beaucoup de vos le merci pour vos J'aime
Légumes(UE) (carottes, navets, haricots verts, petit pois, flageolets), eau, sel. Conservation : A consommer dans les 2 jours suivant son ouverture et à conserver au frais. Conseils de préparation. A savourer en entrée de plat avec de la salade.
Le Parfait Mode d'emploi Les dossiers et questions Le Parfait Conserver les lĂ©gumes Manger Ă©quilibrĂ© durant toutes les saisons grĂące aux conserves de lĂ©gumes Non, manger Ă©quilibrĂ© nâest pas compliquĂ© ! Suivez les conseils Le Parfait un panier de lĂ©gumes de saison, quelques bocaux et le tour est jouĂ©. Sortez donc vos recettes de conserves maison prĂ©fĂ©rĂ©es et prĂ©parez-vous Ă mettre en bocal vos lĂ©gumes pour vous rĂ©galer ! Câest si simple de rĂ©aliser ses propres conserves de lĂ©gumes. Avec la mise en conserve, non seulement vous allez pouvoir garder le goĂ»t et les saveurs des lĂ©gumes, mais en plus pouvoir manger des lĂ©gumes de saison⊠mĂȘme hors-saison ! Alors qui peut faire mieux que les bocaux de lĂ©gumes ? Et pour mettre en bocal sa recette de lĂ©gumes prĂ©fĂ©rĂ©e, rien de plus facile ! Il suffit pour les conserver au naturel, de blanchir les lĂ©gumes avant de les mettre dans les rĂ©cipients en verre. Et pour donner du goĂ»t Ă vos conserves de lĂ©gumes nature », il nây a rien Ă rajouter. Ils nâen seront que plus savoureux et vous apporteront encore plus de vitamines ! Alors ne vous privez pas de la joie de dĂ©guster pourquoi pas des marrons sur la terrasse en Ă©tĂ© ou des cĆurs dâartichauts au chaud prĂšs de la cheminĂ©e en hiver ! Vous voulez des mĂ©thodes et conseils pour rĂ©aliser vos recettes de conserves maison ? Le Parfait est lĂ pour vous aider ! Consultez nos rubriques Comment faire ses conserves ? Les recettes de lĂ©gumes Le Parfait Les produits Le Parfait
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macédoine de légume en conserve chaude